Je suis Liliane, une antiquaire. J’ai fermé ma boutique et je rentrais chez moi à pied quand trois hommes cagoulés me tombent dessus. Ils m’attrapent, bâillonne ma bouche et mes yeux, et ils m’amènent dans une voiture. Je ne peux pas voir où ils m’amènent, mais je ne vais pas hésiter à leur donner le fond de ma pensée. Plus tard, l’un des hommes me fait débarquer de la voiture, m’attache les mains et m’amène je-ne-sais-où. Je suis jetée sur une chaise, mes pieds sont ligotés et mes bâillons sont retirés.
« Vous avez du culot, sales connards! » Dis-je sans me gêner. « Me kidnapper comme ça, sans raison. »
« Au contraire. » Me dit le premier homme cagoulé. « On t’a enlevé pour une bonne raison. »
« Nous voulons ton trésor. » Dis le deuxième homme masqué.
« Pardon? » Je leur demande.
« Ne te moque pas de nous! » Rétorque le troisième homme. « On sait que t’as un trésor. »
« Mais de quoi parlez-vous? Quel trésor? »
« Sapristi! » Exclame le deuxième homme, frustré. « Des pièces d’or anciennes ayant une valeur inestimable. »
« Attends, » dit le premier homme, « je pensais que c’étaient des lingots d’or. »
« Peu importe! » Finis le troisième homme. « On sait que t’as de l’or et tu vas nous le donner. »
Malgré la situation, je me mets à rire. L’un des hommes a le culot de me gifler pour que je me taise.
« Imbéciles! Je n’ai pas de trésor! »
« Comment ça, pas de trésor? » Me demande le premier homme.
« Je vends des antiques de valeur, mais je ne possède rien en or. Si vous parlez du trésor de Fort Boyard que j’ai déjà tenté de découvrir, il n’existe pas. »
« Il n'existe… pas? » Questionne le deuxième homme.
« Il n’existe pas. » Je répète. « Vous m’avez kidnappé pour rien, idiots! »
Je me remets à rire et les trois hommes sont en colère. Ils se parlent entre eux. Je pensais qu’ils allaient me libérer, mais ils ont une idée plus sombre et tordue en tête.
L’un d’eux me détache et me plaque au sol. Ses copains arrachent mes vêtements. Je crie, je lance des insultes, je me débats. Un homme enfonce sa bite dans mon trou du cul, l’autre dans ma chatte, le dernier dans ma bouche. Je pousse un hurlement étouffé.
« Ça devrait la faire taire, cette salope! » Dis le premier homme masqué.
« Ouais, on mérite bien du bon temps après tout ce boulot. » Dis le deuxième homme cagoulé.
« Ok, petite pute, comme t’as pas l’or, on va prendre ton trésor. » Dis le troisième homme. « HA HA HA! »
Je ne peux rien faire alors que les deux hommes pénètrent mes entrées à plusieurs reprises. Je gémis, bien malgré moi. L’homme qui a son bâton dans ma bouche le garde là. Je le mords pour me venger.
« SALOPE! » Hurle-t-il, avant de retirer sa bite pour me gifler à plusieurs reprises.
Je deviens étourdie et mon visage est tout rouge. L’homme remet son pénis dans ma bouche. Ses copains éjaculent en moi et je jouis. Ils ôtent leurs queues, puis ils lèchent ma fleur et ma perle à tour de rôle. Je pousse d’autres gémissements et je jouis une deuxième fois. Après que l’homme éjacule dans ma gorge, il ôte sa bite et il dit à ses potes que c’est assez.
« NON! Je dois encore jouer avec ses seins! » Se plaint l’un de ses copains.
« Comme tu veux, mais moi, je me casse. »
L’homme part. Un autre le suit. Je suis seule avec le dernier. Il caresse mes seins, cercle mes mamelons. Il glisse sa bite entre eux doucement, tout en tirant fortement sur mes mamelons. Je crie et il rigole.
« Je me suis bien amusée, salope. » Me dit-il. « Mais je dois rejoindre les autres. Adieu. »
Il s’en va. Je suis seule, mon corps endolori par l’agression. Je parviens à me relever. Je pars aussitôt de cet horrible endroit. Dès que je vais arriver chez moi, je contacte la police. Ces salopards ne doivent pas s’en sortir comme ça!